Usep en jeu - 7 : Février 2017

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Brèves départementales

  • photo jeunes officiels vienne
    Usep Vienne

    Jeunes officiels, de l’Usep à l’UNSS

    Une trentaine d’écoliers et de collégiens ont participé mercredi 11 janvier à une formation de jeunes officiels commune à l’Usep et l’UNSS.


    Les stages de jeunes officiels, l’Usep de la Vienne en organise depuis une bonne dizaine d’années, généralement aux vacances d’automne. Ils réunissent sur deux jours, avec nuitée, une quarantaine d’enfants de cycle 3 (avec une majorité de CM2), membres de dix associations. En octobre 2016, ils étaient précisément 36 à se retrouver au centre de la Ligue de l’enseignement de Vouneuil-sur-Vienne.


    Vie associative


    Au programme : découverte d’activités sportives – golf et handball cette année – puis travail en petit groupe afin d’encadrer le lendemain un atelier pour leurs camarades. Et aussi, en soirée, des travaux de nature plus associative, en l’occurrence une réflexion sur les valeurs de l’olympisme et l’histoire des JO.

    Au cours de l’année scolaire, ces jeunes officiels contribuent ensuite à dynamiser la vie associative et la vie sportive de l’Usep de la Vienne.


    Écoliers et collégiens


    Mercredi 11 janvier après-midi, 19 d’entre eux ont aussi participé à une formation commune avec neuf collégiens de l’UNSS, dont six élèves de 6e et trois de 3e (présents, eux, depuis le matin). Dans le cadre du nouveau cycle 3, qui établit une passerelle entre le CM2 et la 6e, l’Usep et l’UNSS ont en effet souhaité se rapprocher, avec pour perspective la participation concertée de ces jeunes officiels à la journée « Moi je suis sport » du Cdos de la Vienne, mercredi 21 juin sur la base de loisirs de Vivonne.

    L’objectif était plus précisément de susciter la création de trois associations éphémères ayant respectivement pour objet de soutenir la candidature de Paris 2024, d’assurer la couverture de la journée par de « jeunes reporters », et de mener à cette occasion une action solidaire. (1)


    Des anciens de l’Usep !


    En dépit des quelques craintes que les « petits » écoliers pouvaient nourrir à l’idée d’être confrontés à de « grands » collégiens, la collaboration s’est engagée très naturellement. La moitié des jeunes officiels UNSS avaient d’ailleurs auparavant fait leurs classes en Usep !

    Ces derniers n’ont fait jouer aucun droit d’aînesse et volontiers laissé aux Usépiens la présidence de ces associations temporaires, pour se concentrer sur les tâches de secrétaire. Ce sont donc eux qui, pour chaque association, devront initier les échanges via Internet pour organiser les animations prévues en juin prochain.

    Sans attendre, il est prévu de renouveler l’expérience en 2018, en ajoutant le temps de pratique sportive qui, pour des raisons matérielles, n’a pu avoir lieu cette année.


    Jacques Demiot, délégué Usep de la Vienne


    (1) Cette formation était co-animée par Loïc Laurent, directeur de l’UNSS de la Vienne, et par le délégué et le président départemental Usep, Philippe Le Merrer. Des professeurs des écoles et des professeurs d’EPS intéressés par la démarche y ont aussi participé, ainsi que des représentants du Cdos.

  • photo lutte Usep 21
    Usep Côte-d’Or

    Jeux d’opposition en maternelle

    Du 16 au 24 janvier, 750 enfants de maternelle ont pris part à neuf rencontres Usep réunissant jeux de lutte individuels et oppositions collectives.


    Les jeux ont pour nom « la lutte écossaise », « la tortue et le jardinier » ou « le hérisson et le chasseur », et tous visent à saisir, pousser, soulever, retourner ou déséquilibrer son adversaire en enchaînant ses différentes actions. De quoi favoriser de manière ludique le développement moteur des jeunes enfants.

    Mais les rencontres de jeux d’opposition organisées chaque année par l’Usep Côte-d’Or proposent aussi des oppositions collectives : « Des jeux de franchissement par équipes », précise le délégué, Fabrice Brinon, qui supervise ces rencontres avec les trois autres membres de l’équipe technique départementale. Les enseignants et les parents d’élèves sont aussi mis à contribution, les enfants ayant d’ailleurs auparavant tous participé à un cycle d’apprentissage avec leur classe.


    Orientation en avril, athlé en juin


    Les neuf rencontres, auxquelles étaient inscrits une trentaine de classes et plus de 750 enfants, de la toute petite à la grande section, étaient d’une durée de deux heures environ. Elles se sont déroulées sur sept journées, du 16 au 24 janvier, principalement sur Dijon et son agglomération.

    Seule exception : Selongey, à une quarantaine de kilomètres. Elles seront suivies, en avril puis en juin, de rencontres d’orientation et d’athlétisme, ces dernières pouvant mobiliser jusqu’à 1200 enfants – sans pour autant s’inscrire dans l’opération nationale, le Printemps des maternelles hier, les P’tits reporters Usep aujourd’hui.

    « Comme pour l’ensemble de nos publics, nous souhaiterions les développer davantage encore, en particulier sur les secteurs ruraux, avec des rencontres à deux classes ou deux écoles totalement prises en main par les enseignants. Mais ce n’est pas la culture de l’Usep en Côte-d’Or, où à une exception près la pratique s’effectue exclusivement en temps scolaire, et où l’équipe départementale pilote 95% des organisations », explique Fabrice Binon. Ph.B.

  • photo échecs Usep 75
    Usep Paris

    Échecs et hand

    S’opposer par équipes autour d’un échiquier puis sur un terrain de hand : c’est la formule de rencontre qu’a expérimentée l’Usep Paris.


    L’initiation aux échecs en primaire à Paris relève de la mission de Gérard Vaysse, responsable académique jeux de l’esprit (1). L’Usep étant l’un de ses partenaires, l’idée a germé d’expérimenter un format de rencontre mariant la pratique du plus fameux jeu de stratégie avec celle d’un sport d’équipe. Le handball par exemple, puisque les Mondiaux 2017 allaient débuter.


    Deux gymnases mitoyens


    Mardi 10 janvier, veille de l’ouverture des championnats du monde, quatre classes de CM1-CM2 issues de trois écoles (Wattignies, La Brèche-aux-Loups, Le Vau) se sont ainsi retrouvées pour un tournoi géographiquement réparti sur deux gymnases mitoyens du complexe Louis-Lumière (20e arrondissement). Dans l’un étaient tracés quatre terrains de mini-hand ; dans l’autre étaient installées des tables munies d’échiquiers et de pendules.

    Ces classes n’avaient pas été choisies au hasard : toutes avaient été initiées aux échecs dans le cadre des actions coordonnées par le responsable académique. « Tout enfant doit connaître les rudiments du jeu, c’est indispensable » insiste Alexis Étienne, le jeune animateur Usep chargé de la conception de la rencontre. Les enseignants avaient auparavant familiarisé les enfants avec le jeu au temps, et répartis ceux-ci en équipes de cinq.


    La tête et les jambes


    Cette rencontre « La tête et les jambes » (2) est en effet une mécanique de précision, avec des feuilles de route indiquant à chaque équipe l’activité à pratiquer durant six rotations de trente minutes : une demi-heure où il fallait caser, interruptions et trajets d’un gymnase à l’autre compris, trois matchs de hand de 5 minutes chacun ou bien une ronde d’échecs de 20 minutes (soit 10 par joueur pour effectuer ses coups). Dans cette dernière discipline, les enfants s’opposaient de manière individuelle, par rangées de cinq tables.

    Finalement, le plus compliqué a été de trouver un système de comptage accordant autant de points pour « la tête » que « les jambes ». Résultat de cet intense brainstroming : chaque rotation accordait au maximum trois points. Il fallait pour cela remporter à chaque rotation au moins deux matchs de hand ou trois des cinq parties d’échecs. Sinon, c’était deux points, ou un seul.

    Mais l’important n’était pas là : la formule a autant emporté l’adhésion des enseignants que des enfants. « Et j’ai été surpris de découvrir combien les échecs les passionnent » confie Alexis Étienne.


    À renouveler


    L’expérience devrait donc être renouvelée l’an prochain, voire étendue. Reste que l’idée d’organiser la rencontre sur trois heures, sans interruption, s’est révélée très ambitieuse. Entamée à 10 heures (une école avait un peu de retard), elle s’est finalement achevée à 14 heures, après une pause pique-nique bienvenue.

    Car si marier la tête et les jambes est une excellente idée, n’oublions pas le ventre non plus… Ph.B.


    (1) Également élu du comité départemental Usep, Gérard Vaysse est chargé de cette mission depuis 2012. Par ailleurs, la fédération française d’échecs est reconnue comme fédération sportive depuis 2000. (2) Nom d’un célèbre jeu télévisé des années 1960 et 1970 associant deux partenaires devant l’un répondre à des questions, l’autre relever des défis sportifs.

  • photo Usep îles du Nord
    Usep Îles du Nord

    Olympisme et paralympisme

    L’Usep des Îles-du-Nord était partenaire de la Semaine olympique et paralympique organisée du 23 au 27 janvier à Saint-Barth et Saint-Martin.


    Dans le cadre de « l’Année de l'olympisme, de l'école à l'université », les services de l'Éducation nationale de Saint-Barthélemy et Saint-Martin (deux îles caraïbes proches de la Guadeloupe) ont organisé en partenariat avec l'association Usep des Îles du nord et le district UNSS une Semaine olympique et paralympique.

    Du 23 au 27 janvier, celle-ci a eu pour principaux temps forts le cross des écoles maternelles de Saint-Martin (photo), une rencontre voile-kayak pour les élèves en situation de handicap (reportage télé ci-dessous), l’opération « Handballons-nous ! » et une rencontre athlétique école-collège.


    Run to Paris


    S’y ajoutait la nouvelle édition de la course Run to Paris 2024. Comme l’an passé, il s’agissait pour les écoliers, collégiens, et lycéens d’additionner la distance parcourue par chacun afin de totaliser 6 726 km et de rejoindre ainsi virtuellement Paris, ville candidate pour les JO 2024. Avec cette année pour parrain Jean-Paul Tony-Hélissey, vice-champion olympique de fleuret à Rio l’an passé. Jean-Luc Élice

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